9 octobre 2012. Mobilisations importantes pour la défense des emplois et du potentiel industriel
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De nombreux syndicats et salariés de nos secteurs ont répondu aux appels de la CGT à des arrêts de travail de 2 à 24 h et à participer aux manifestations.
Aux côtés des Fralib et des Continental Nutrition à Marseille, des Doux à Rennes et Paris, des Pilpa à Toulouse, des Barry Callebaut à Lyon ou encore des Kronenbourg à Epinal, on pouvait voir Heineken, Riches Monts, la Brasserie de Champigneulles, la Brasserie Saverne, Stoeffler, l’ONF privé, Contrex-Vittel, Lactalis, Volvic, Limagrain, la Sucrerie de Bourdon, Barry Callebaut, Amora, Bel Lons, Bel Dôle, Nestlé Purina, Bigard, Even, Haribo, Perrier, Quézac, 3A, Danone Villecomtal, Pioner, Nutribio, Yoplait, BN, Bel Sablé, Lu, Lesaffre, NPLF, Bénédicta, Caby, Heineken, Téréos Boiry, Téréos Lillers, Fraisnor, Holder, Nestlé Grand Froid, Nestlé Purina, Banania, Dailycer, Bigard, St Louis Sucre Eppeville, Beghin Say Chevrières, Pastacor, la Fromagerie du Thièrache, le Golf du lys, Cofranlait, St Louis Sucre, Panzani, Moulins Maurel, Evian, Badoit, Bresse Bleu, Despinasse, les Boulangerie Paul, William Saurin, le PMU, les Hippodromes, Ladurée, Les Grands Moulins de Paris, Toufflet, Danone siège, Danone logistique…
Toutes et tous exprimaient leur révolte contre le patronat qui restructure, délocalise, ferme les usines au nom de la rentabilité financière. Tous dénonçaient ces nantis qui, par la voix de Parisot, ne cessent d’accuser le coût du travail. Or, les richesses créées par le travail ne servent pas à l’investissement productif ou à la recherche, mais à accumuler profits et fortunes. Ce n’est pas le coût du travail qu’il faut réduire, c’est le coût du capital.